Dans quatre centres de formation au Bangladesh, des enfants précédemment forcés de travailler reçoivent une éducation scolaire de base et l'opportunité de suivre une formation professionnelle.

« Free Kids » lutte pour éradiquer le travail des enfants

Solidar Suisse et son organisation partenaire YPSA luttent pour que les enfants ne doivent pas travailler dans des conditions dangereuses. Comment ? En privilégiant l’éducation plutôt que le travail. À Cox’s Bazar et à Chattogram, quatre centres ont été créés afin d’offrir aux enfants de nouvelles perspectives d’avenir. Ces centres constituent un espace sécurisé où ils et elles peuvent jouer et également bénéficier de rattrapage scolaire. Quant aux adolescent⸱e⸱s, ils et elles ont la possibilité de suivre une formation professionnelles axée sur la pratique, qui leur ouvre la voie à un avenir professionnel qualifié.

Les parents sont également soutenus. Ils reçoivent un soutien pour développer des sources de revenu alternatives, qui ne reposent pas sur le travail de leurs enfants. De plus, des campagnes de sensibilisation dans les communautés mettent en lumière les conséquences négatives du travail des enfants et favorisent une prise de conscience.

« Nous avons vu des enfants quitter des usines pour retourner sur les bancs de l’école. Notre plus grande motivation à continuer notre travail, c’est de leur donner une perspective d’avenir, ainsi qu’à leurs parents », explique Vera Haag. Le travail de Solidar Suisse le démontre : le changement durable est possible. Mais pour réduire le travail des enfants, il faut des perspectives sur le long terme, des ressources et une volonté collective.

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