Aujourd’hui, des défis perdurent encore en matière d’éducation. Seule la moitié des enfants achève l’école primaire, même si de grands progrès ont été réalisés au cours des dernières décennies. Une grande partie de la population ne sait ni lire ni écrire et beaucoup d’enfants arrêtent l’école pour travailler dans les champs ou les mines d’or. Pourtant, cette population très jeune, la majorité est âgée de moins de 20 ans, a l’avenir devant elle et représente une force pour le développement du pays.

Nous offrons aux jeunes filles sans diplôme la possibilité de suivre un apprentissage. Nous soutenons également les enfants affecté·e·s par la situation sécuritaire, et particulièrement vulnérables aux violences, en favorisant un accès à l’éducation ou à la formation professionnelle. Nous expliquons aux parents et aux agriculteur·trice·s les problèmes que pose le travail des enfants, sensibilisons les enfants à leurs droits et créons des sources alternatives de revenus pour les propriétaires des champs de coton.